VISITEURS

mercredi 31 octobre 2007

+ 140 %

Camarades, c'est le moment de revendiquer :
  • Le SMIC + 140 % !!!
  • Les retraites + 140 % !!!
  • Les prix agricoles + 140 % !!!
  • Les alloc + 140 % !!!
  • .... + 140 % !!!

Merci Sarko de nous monter l'exemple, on est vraiment con de ne pas y avoir pensé avant...

mardi 30 octobre 2007

Ca y est, elles sont arrivées ...


...les premières truffes de la saison 2007 découvertes par Circée, le labrador de mon ami Claude. Il n'y a plus qu'à espérer que ça continue jusqu'en février...

A lire jusqu'au bout

Tu t'aperçois que tu vis en 2007 quand :
1. Par accident, tu tapes ton mot de passe sur le micro-onde.
2. Ça fait des années que t'as pas joué au solitaire avec des vraies cartes.
3. T'as une liste de 15 numéros de téléphone pour joindre une famille composée de 3 personnes.
4. T'envoies un mail à ton collègue de bureau juste à côté du tien.
5. T'as perdu le contact avec tes amis ou ta famille, parce qu'ils n'ont pas d'adresse e-mail.
6. T'arrives chez toi après une longue journée de travail et tu réponds au téléphone comme si tu étais encore au bureau.
7. Tu fais le zéro sur ton téléphone du domicile pour prendre la ligne.
8. T'es à ton poste de travail depuis 4 ans mais t'as travaillé pour trois entreprises différentes.
10. Toutes les pubs télé ont une adresse Web en bas de l'écran.
11. Tu paniques si tu sors de chez toi sans portable et tu fais demi-tour pour le prendre.
12. Tu te lèves le matin et la première chose que tu fais c'est de te connecter à Internet avant même de prendre ton café.
13. Tu inclines ta tête sur le côté pour sourire.
14. T'es en train de lire ce texte et tu acquiesces et souris.
15. Encore pire, tu sais déjà à qui tu vas renvoyer ce message.
16. T'es trop occupé pour t'apercevoir qu'il n'y a pas de numéro 9 dans cette liste.
17. A l'instant, tu parcours le message pour vérifier qu'il n'y avait pas de numéro 9 dans la liste.
CONSEIL :
Lorsque ton travail t'ennuie, que tu es au bord de la dépression, que vraiment plus rien ne va comme tu le voudrais au travail. Alors fais ceci : En sortant du travail arrête-toi à la pharmacie, achète un thermomètre rectal Johnson & Johnson [seulement cette marque là]. Ouvre la boîte du thermomètre rectal et lis les instructions. Tu trouveras cette phrase quelque part : Chaque thermomètre rectal Johnson & Johnson a été testé personnellement à notre usine. Alors maintenant fermes les yeux et répètes 5 fois à voix haute : Je suis heureux[se] de ne pas travailler au contrôle de la qualité chez Johnson & Johnson.
ET MAINTENANT TU RIGOLES.
Allez, renvoies ceci à tes amis.
T'en meurs d'envie!!!
Et rappelles-toi toujours qu'il y a des jobs plus merdiques que le tien.

Reçu d'Annie C.

dimanche 28 octobre 2007

Rando : le Rocher de Toulau





Photos Fabienne Reynaud


Ca y est nous avons pu le faire le rocher de Toulau, reporté dimanche dernier pour cause de brouillard. Sous un grand soleil malgré une bise à écorner les bœufs, les sept intrépides grimpeurs (Marie Thé, Dany, Roselyne, Fabienne, Paul, Nicolas et le Vieux Rouge) ont vaincu le rocher et les éléments déchaînés et se sont retrouvés sur le coup de midi au sommet. Descente sur le plateau d’Ambel et pause casse croûte arrosé au St Maurice et au Bordeaux (flacons acheminés par notre sherpa Paul, Paul : en 1953, le sherpa de Sir Edmunt Hilarry s’appelait Tenzing Norgay…) Retour à travers la forêt, où on a pu admirer quelques arbres remarquables. Au refuge de Gardiol l’équipe s’est scindé en deux : les fatigués ont fait du stop pour rejoindre le Col de la Bataille pendant que l’autre partie finissait le parcours par le col de Toulau (Montée assez sportive mais grandement récompensée par les derniers rayons de soleil sur les rochers du Toulau.

samedi 27 octobre 2007

Notes de lecture

Je viens de lire « Le concile de pierre » de J.C. Grangé (Bouquin prêté par Fabienne). J’avais aimé « Les rivières pourpres » et « Le vol des cigognes », beaucoup moins « L’empire des loups ». Mais « Le concile de pierre », je n’ai pas aimé du tout : une histoire de savants fous qui se retrouvent en Mongolie. C’est glauque, sanguinolent et ennuyeux. Arrivé au milieu du bouquin, on n’a même pas envie de connaître la fin, ce qui est un comble pour un polar. C’est une histoire mal ficelée, complètement axée sur le paranormal, seul avantage ça aide bien à s’endormir pour qui aurait des problèmes d’insomnie.

jeudi 25 octobre 2007

Martinique (suite)

Sur ce lien un entretien avec Juvénal Rémir, mon camarade le Président du CODEMA - MODEF de la Martinique que j'ai eu le plaisir de rencontrer au mois de mars sur sa plantation.
http://www.dailymotion.com/video/x1dydi_chlordecone-bondamanjak_sustainable_dev

Article parut dans "L'Exploitant Familial" après le passage de l'ouragan Dean aux antilles.

Dans la nuit du 17 août, l’ouragan Dean a touché l’île de la Martinique et de la Guadeloupe de plein fouet. En Martinique ce sont des vents soufflant à près de 200 km/h et des trombes d’eau qui ont totalement saccagé l’île aux fleurs. Les dégâts sont considérables, les infrastructures (routes, réseaux EDF et télécommunications) et l’adduction d’eau sont détruites. De nombreuses maisons sont inhabitables. L’agriculture martiniquaise et guadeloupéenne se retrouvent exsangues après le passage du cyclone.

Les bananeraies sont anéanties à 100%, il y a 70 % de pertes dans les plantations de canne à sucre et les cultures vivrières ont également énormément souffert. La banane est la principale richesse agricole notamment en Martinique et il faudra attendre 8 à 9 mois pour espérer une nouvelle récolte.

Aux Antilles françaises, dont la plus grande part de l’activité est accrochée à la filière agricole, la banane constitue le véritable moteur économique. « Elle occupe un tiers de la surface agricole », expliquait en décembre 2006 notre ami Georges Venkatapen, le secrétaire général du Codema Modef (Comité de défense des métiers agricoles, affilié au Modef), « et représente 62 % de la valeur de la production agricole ». Mais surtout, la banane constitue un indispensable poumon économique pour un territoire comme la Martinique, dont l’approvisionnement dépend étroitement des importations. Y compris sur le plan alimentaire, puisque la production vivrière locale couvre tout juste un cinquième de la consommation. Or sans la banane, culture d’exportation, les bateaux qui approvisionnent l’île repartiraient le plus souvent à vide : le coût du fret exploserait, et avec lui le coût de la vie. Autre réaction en chaîne : la banane est une production de main d’œuvre ; et sans les 14 000 emplois directs et indirects qu’elle génère, la Martinique et la Guadeloupe auraient vite fait de se trouver livrées à la misère qui ravage déjà de nombreuses îles antillaises.

Mévente et prix cassés sont aussi le lot permanent des producteurs antillais, victimes du racket de la grande distribution qui privilégie les importations de bananes industrielles des grandes multinationales d’Afrique, d’Amérique centrale et du sud à des prix de dumping. Nous nous souvenons des interventions de nos amis martiniquais Juvénal Rémir et Georges Venkatapen évoquant ces problèmes au congrès du Modef.

Au mois de mars dernier, au cours d’un séjour en Martinique, j’ai eu l’occasion de visiter la plantation de Juvénal Rémir à Basse Pointe . J’ai pu constater combien l’exploitation d’une bananeraie est un travail difficile qui demande de gros investissements. Il y a la chaleur, il faut sortir les lourds régimes (de 25 à 30 kg) à dos d’homme jusqu’aux traces dans des pentes très escarpées, puis les laver, trier et emballer dans des hangars à bananes dans une humidité permanente. La banane se récolte sans discontinuer toute l’année. Les journées d’un planteur commencent à 4 heures du matin et se terminent au coucher du soleil, on est loin des images de vacances (plages et cocotiers) des dépliants d’agences de voyage.

Les pertes des agriculteurs antillais sont estimées à un minimum de 115 millions d’euros, sans parler des dégâts considérables aux infrastructures vitales, aux autres activités et aux habitations. Le Modef assure tous les producteurs martiniquais et guadeloupéens et plus largement tous les sinistrés de son soutien le plus total et lance un appel pressant à la solidarité nationale la plus large, que ce soit par rapport aux besoins immédiats, mais aussi à ceux de la reconstruction à court et moyen terme. Les besoins des planteurs de banane et de canne à sucre, des producteurs vivriers ne sont pas des moindres loin de là, que ce soit pour compenser les pertes de production, mais aussi pour redémarrer le plus rapidement possible dans de bonnes conditions.

Le secrétaire d’Etat aux départements d’outre mer a promis une aide aux sinistrés, notamment agricoles. Espérons que cela ne restera pas au stade des promesses. L’exemple du cyclone Gamède qui a ravagé en février dernier l’Ile de la Réunion, et dont 6 mois plus tard les paysans sinistrés attendent toujours les aides promises par l’Etat, est à ce titre plus qu’inquiétant.

Georges Reynaud, secrétaire national du Modef

mercredi 24 octobre 2007

dimanche 21 octobre 2007

Rando : le Pas de Saint Vincent


Nous étions partis pour monter au Rocher de Toulau mais arrivés au Col de la Bataille, le brouillard était si épais que nous nous sommes repliés sur le Col des Limouches.


Du Col, malgré le froid et une bise glaciale, nous avons rejoint le Pas du Touet, puis en empruntant le GR 93 nous sommes descendus jusqu’aux prairies de Peyrus. Et du bas nous avons regagné le plateau par le Pas de St Vincent par une montée assez raide (600 m. de dénivelé sur moins de 2 km. Mais le spectacle que l’on a au Pas récompense de l’effort.


Merci à Nicolas, notre sympathique guide et à sa compagne Roseline pour son délicieux gâteau aux châtaignes de la part de Charlotte et Maurice, Monique et Laurent, Marie Jo, Jacqueline, Marie Thé et Georges

samedi 20 octobre 2007

Laulau et Loulou


Ne sont elle pas belles les deux cousines ?

Les exploits equestres de Marie-Claire



La bonne Marie Claire
A monté à cheval à l'envers ;
Son gentil mari,
Lui dit : Ô ma mie !
Sans te contrarier,
La tête est de l’autre côté.
C'est vrai, lui dit Marik,
Je vais finir par tourner en bourrique.

(Sur l’air du roi Dagobert)

« Le cheval est dangereux devant, dangereux derrière et inconfortable au milieu »

Churchill

La famille GIRAUD


La famille Giraud au complet : cette photo fait suite à l’anniversaire de mariage de Dominique et Guy organisé par leurs enfants sous les frondaisons de Bathernay. Ce fut une bonne journée, très conviviale : bonne chaire, bons vins et musique à profusion avec « les Sautes Caruches ».
La journée se termina par le remariage de Dominique et Guy avec un curé que nous soupçonnons de ne pas avoir pratiqué le Grand Séminaire très longtemps. Comme les mariés avaient revêtu les costumes d’il y a 30 ans, il y avait quelques problèmes de boutonnage… N’est ce pas Dominique ?

vendredi 19 octobre 2007

Bernard Lavilliers

Une vidéo du grand Bernard :
http://www.dailymotion.com/video/x2pvqj_bernard-lavilliers-les-mains-dor_music
Une de ses meilleures chansons qui traduit le desespoir de ces hommes à qui, pour des raisons de rentabilité du grand capital, on a interdit de travailler.

" je crois que la façon la plus sûre de tuer un homme
C'est de l'empêcher de travailler en lui donnant de l'argent."

Félix LECLERC : les 100 000 façons de tuer un homme

jeudi 18 octobre 2007

Rétroviseur : La batteuse


Sur cette photo, on voit une machine à vapeur entraînant la batteuse. Les anciens du village pensent que cette photo a été prise pendant la guerre. La pénurie de carburant avait contraint l’entrepreneur de battage de ressortir son ancienne machine à vapeur. J’ai connu le battage à l’aire, la dernière campagne avant la récolte à la moissonneuse-batteuse s’est déroulé en 1963 ou 64.

Pour tous les gamins de mon age, l’arrivée de la batteuse à la ferme était un évènement très attendu. Dès le matin le batendier et ses aides (les machinaïres) alignaient et calaient la presse, la batteuse et le tracteur, tout cela à l’aide d’un impressionnant cric en bois. Il fallait tendre les courroies en cuir, qui de la poulie du tracteur entraînaient la batteuse et la presse. Alors le battage pouvait commencer : des paysans montaient sur la gerbière et envoyaient les gerbes à l’engreneur qui les introduisait dans la gueule de la machine. Les plus jeunes et les plus costaux pesaient et portaient les sacs. Les sacs étaient tarés à 100 kg (une balle), chargés à dos d’homme, puis montés dans les greniers. Les autres postes étaient moins physiques, c’était la presse à ballot lié au fil de fer. Mon premier travail à la batteuse était de lier les fils de fer : ça n’était pas pénible, mais on était continuellement à la poussière. Les années suivantes je portais les ballots de paille de la sortie de la presse à la paillère. Les ballots de 25 à 30 kg étaient portés sur le dos, on avait des capuchons faits avec des sacs de jute et un crochet en fer.

Si pour nous les gamins, la batteuse était une fête, pour les adultes c’était une sacrée corvée. Mon père suivait la batteuse pendant 15 jours à trois semaines. Les femmes devaient préparer trois repas par jour et ça n’était pas de l’allégé !!! L’ambiance du dernier repas du soir était toujours chaude : le vin, le pastis et la gnole avaient circulé sans restriction tout au long de la journée. C’était la grosse rigolade, parfois quelque bagarre, mais c’était assez rare. C’était une façon d’oublier la pénibilité du travail et que le lendemain dès l’aube il faudrait recommencer.

(A suivre)

dimanche 14 octobre 2007

Rando : le Pas du Pas


500 mètres après St laurent en Royans, sur la route de Laval, on prend à gauche un petit chemin qui monte parallèlement à la route, puis on monte raide dans la forêt jusqu’au pied de la falaise. On passe la barre rocheuse par des vires et des couloirs qui nous amènent au Pas du Pas. Pause casse croûte à Cabusson (1050 mètres, aire de pique nique au bord de la route de l’Arp). On prend plein Nord pour rejoindre le GR 9 qui redescend sur St Laurent. En passant, on jette un coup d’œil à la grotte Jarrand (Attention !!! au fond de la grotte il y a un puits de 2 ou 3 mètres).

Ballade du 13 octobre 2007 avec Maurice, Annie, Marie Jo, marie Thé, Nicolas et moi. Un petit bémol : bien que Maurice nous ait affirmé que le soleil allait paraître, le brouillard ne nous a pas quitté.

jeudi 11 octobre 2007

Rando


Aujourd’hui, jeudi 11octobre de l’an 2007, 13 intrépides randonneurs de la MJC de Saint Donat et leur guide le valeureux Alain Gasquet, se sont lancés à l’assaut des ruines du château de Barry à Vercheny.
Le début du parcours traverse les vignes de Clairette et Muscat où nos amis ont pu se régaler des dernières grappes gorgées de soleil. La ballade se poursuit par une montée en lacet dans une sympathique forêt de chênes. Arrivés sur la crête nos randonneurs se sont réconfortés en sortant des musettes le pain, le vin et la saucisse. Après le casse-croûte : petit détour pour aller sur les ruines du château de Barry, perché sur son éperon rocheux d’où l’on découvre un superbe panorama sur la vallée de la Drôme et le vignoble de la Clairette de Die (Voir la photo). Et enfin descente sur Vercheny le Vieux par un agréable sentier, au milieu du thym, qui serpente entre les chênes.

mardi 9 octobre 2007

MORGON

Un site à visiter sans modération : le site du paparazzi qui nous a surppris Alex et moi à la sortie d'une séance de travail :
http://www.vindespoetes.com

A la chatelaine


Alors baronne, ça te va comme photo : le vieux rouge et le chti à la sortie de la plus célèbre boite de nuit de Villié Morgon Est. (Si tu veux on peut te la dédicacer)

lundi 8 octobre 2007

le roi des cons

Après la version de Magyd Cherfi, j'ai retrouvé sur Dailymotion l'originale de Brassens.
On y retrouve Maxime le Forestier, Moustaki, François Béranger, François Cavanna, Coluche et Marcel Amont.
Pour voir et écouter on clique sur le lien :
http://www.dailymotion.com/video/xkb8x_georges-brassens-le-roi

Mon oncle Johannès


Aujourd’hui je veux vous présenter quelqu’un qui a beaucoup compté dans mes 20 premières années : Mon oncle Johannes, il est celui qui a pris la place de mes grands pères disparus quand j’avais six ans. Il était l’aîné d’une famille de trois enfants : ma grand-mère Maria et ma grande tante Baptistine. Fils de paysan, il fut paysan lui aussi, mais la grande aventure de sa vie fut la guerre de 1914 /18. Conscrit en 1910, il fut appelé dans un régiment de chasseurs alpins : 3 ans d’armée et 4 ans de guerre. Gamin, j’allais garder les chèvres avec lui et tout au longs de ces après midi il m’a raconté sa guerre, comment devant toute cette misère, lui le petit paysan s’est forgé une conscience de classe en lisant Henry Barbusse et en s’informant de se qui se passait en 1917 dans la lointaine Russie.
Ce petit homme, sec comme un coup de trique était d’une vitalité extraordinaire, je l’ai toujours connu de bonne humeur, il s’intéressait à tout, chez lui, dans sa cuisine la radio marchait du matin au soir, il a été un des premier à s’acheter un poste de télévision et il fallait que tous les mercredi soir (parce que le jeudi il n’y avait pas école) il y ait deux ou trois gamins du quartier pour regarder le programme de la chaîne unique avec lui. Je le revois, assis à califourchon sur sa chaise, tournant le dos à la grande cheminée où bouillait en permanence de l’eau dans la marmite, un mégot rachitique au bec (dans sa vie, il a du fumer plus de papier que de tabac…), la casquette bleue délavée vissée sur le crâne en train de se fendre la poire en face de sa télé.

dimanche 7 octobre 2007

Manu Chao

La pensée du jour lue sur la page d'accueil du site de Manu Chao :"La résignation est un suicide permanent".
En 1962, Brassens avait écrit : "La complainte des filles de joie", aujourd'hui Manu Chao a écrit aussi une très belle chanson sur les prostitués, voici ces paroles en français :

ME LLAMAN CALLE (traduction des paroles originales en Français)

On m'appelle la rue en marchant sur les pavés
la turbulente et si perdue
Ils m'appellent la rue
La rue de nuit La rue de jour
On m'appelle la rue
Aujourd'hui fatiguée Aujourd'hui si vide
Comme une petite machine dans la grande cité
On m'appelle la rue Je monte dans ta voiture
On m'appelle la rue de la Maljoie
La rue blessée
Rue fatiguée d'autant d'amour
Je descends la rue
Je monte la rue
Je ne me rabaisse même pas pour la vie
On m'appelle la rue c'est mon orgueil
Je sais qu'un jour viendra
Je sais qu'un jour viendra ma chance
Un jour un homme bon viendra me sortir de là
Pour toute la vie et sans payer
Mon coeur n'est pas à louer
On m'appelle la rue
On m'appelle la rue
La rue la Souffrance
La rue si triste de tant d'amour
On m'appelle la rue
La rue et encore la rue
On m'appelle la rue
La no futur
Ils m'appellent la rue
La sans issue
Ils m'appellent la rue
La rue et encore la rue
Celle que les femmes de la nuit
Montent en descendant
Et descendent en montant
Comme une petite machine dans la grande cité
Ils m'appellent la rue
Ils m'appellent la rue
La rue la Souffrance
La rue si triste d'autant d'amour
Ils m'appellent la rue La rue et encore la rue
Ils m'appellent toujours,
Et a n'importe quelle heure
Ils m'appellent Ma BelleToujours a temps perdus
Ils m'appellent la Pute
Mais aussi Princesse
Ils m'appellent la rue mon titre de noblesse
Ils m'appellent la rue
La rue la Souffrance
La rue si triste d'autant d'amour
On m'appelle la rue
On m'appelle la rue
La rue la Souffrance
La rue si triste d'autant d'amour
A la Puri, a la Carmen, Carolina, Bibiana, Pereira, Marta, Marga,Heidi, Marcela, Jenny, Tatiana, Rudy, Mónica, María, María

On m'appelle la rue On m'appelle la rue
La rue la Souffrance
La rue si triste d'autant d'amour
On m'appelle la rue On m'appelle la rue
La rue la Souffrance
La rue si triste d'autant d'amour

C'est une belle chanson, pour voir la vidéo cliquez sur le lien suivant :
http://www.dailymotion.com/video/xwf3t_me-llaman-calle-manu-chao_music

samedi 6 octobre 2007

Markus beer

La Brasserie Markus
La Brasserie Markus est installée à Saou, village du val de Drôme blottit au coeur d'un synclinal perché, gigantesque "impluvium" (collecteur d'eau de pluie) tapissé des filtres naturels de ses roches sédimentaires.L'eau qui jaillit de cet ensemble a toujours fait l'admiration des drômois. Bénéficiant de la qualité "eau de source de montagne", l'eau de Saou offre à un brasseur toutes les caractéristiques nécessaires à la création d'une bière de dégustation.

Virée drômoise pour la famille Jensen


Quand des américains rendent visite à la famille, ils font un peu de tourisme.Premier jour : le TGV et la gare d'Alixan.
Le lendemain : visite de l'atelier de l'ami Bernard Larcher, compagnon charpentier à St Donat ( Echange entre Jerry et Bernard sur les différentes catégories de lamellé/collé et surtout sur la façon de travailler).
Puis étape à Crest, le pont en bois, un casse croute à la Petite Auberge et visite de la Tour l'après-midi.
Passage par le défilé de Lauzun et Saou avec une pause au bar : "L'oiseau sur la branche" pour y gouter la bière locale ( Si la brasserie Markus apprécie la pub gratuite que je lui fais, elle peut toujours m'envoyer un échantillon de ses productions, il sera apprécié à sa juste valeur).
Retour à St Andéol où l'auteur de ces lignes a fait la crique .

Coups de coeur

Mes coups de coeur :

Vidéo :http://www.dailymotion.com/video/x1mi1t_magyd-cherfi-la-patchak_music

Musique : le dernier CD de Ridan, "heureux qui comme Ulysse" ,(Poème de Joachim du Bellay, appris en classe de CM2 à l'école communale de St Andéol)

Bouquins : Les ravines du Devant Jour de Raphael CONFIANT

Bonjour


Bonjour,

Juste quelques mots , un samedi d'été en fin de journée et une nouvelle aventure : ouvrir un blog pour communiquer mes sentiments, émotions et tout ce que j'ai envie de faire partager.
Vive les femmes, la mienne : Marie Thé, mes filles : Anne et Fabienne, ma
petite fille : Louise, née le 19 septembre 2006