VISITEURS

dimanche 28 novembre 2010

Carnet rose ou bleu ?



Vous ne trouvez pas que nos filles se sont un peu arrondies ces derniers temps ?
Eh bien oui, Nous allons être à nouveau grands parents et deux fois.
Pour Anne et Alex l'heureux évènement est prévu en février.
Pour Fabienne et Jean François se sera en mars.
Une plus deux égale trois (1+2=3),
Logiquement, nous seront mémée et pépé puissance 3.
En attendant...ou pas.


samedi 20 novembre 2010

Casses toi pov' con !


Une parodie qui me met de bonne humeur, à écouter en cliquant sur le lien ci dessous :

Le beaujolais nouveau




Le beaujolais nouveau est arrivé, y compris à St Andéol. C'est maintenant une tradition bien établie. Et l'édition 2010 qui s'est déroulé chez Isabelle et Loïc n'a pas failli à la réputation de l'évènement. Comme pour les éditions précédentes rien ne manquait pour accompagner le vin nouveau : Saucisses, caillettes, quiches, fromages, gâteaux...
N'oublions pas que c'est le Glaude, l'étranger, le suisse, l'émigré qui a instauré cette sympathique tradition, comme quoi le multiculturalisme ça a souvent du bon...Comprenne qui voudra !

jeudi 18 novembre 2010

Rando : Mouraille


C'est une randonnée très facile au départ de St Just de Claix (12 km pour 125 m. de dénivelé positif). Cette ballade commence le long de l'Isère, puis elle longe le canal de la Bourne. Après la traversée du vieux village, elle s'élève vers le coteau de Mouraille, son point culminant. Retour en sous bois et à travers les noyeraies.

Au fait que signifie le mot MOURAILLE en patois franco-provençal ?

J'attends vos réponses, le 1er prix ? la mème chose que la semaine passée.

dimanche 14 novembre 2010

Le retour des vendanges







La tradition a été respectée, elle l'est toujours chez Jambon (surtout en ce qui concerne la convivialité) : le retour des vendanges a été dignement célébré. Les vendangeurs, les amis, la famille, tout le monde s'est retrouvé dans le cuvage afin de clore une partie du travail du vigneron.
Après la dégustation à l'aveugle des trois cuvées et les commentaires afférents, tout le monde passait à table pour se délecter du bourguignon mitoné par Nicole.
Après un petit intermède chorégraphique dans les rues de Villié Morgon, sur le coup de 17 heures, un petit apéro et on repasse à table pour la saucisse et la tête de cochon cuits au vin.
C'est tard dans la nuit que s'est achevée la soirée avec musique, poèmes et chansons.

jeudi 11 novembre 2010

La rando mystère ??????


Cette rando démarre du village dont vous devrez trouver le nom. Elle passe à Montaudun, elle remonte le Merdaret jusqu'à la Combe des Tulières. Elle redescend le bois de la Fayarda, pour remonter au Devès. Le retour au village à découvrir, en fait c'est un hameau, ce fait en redescendant la colline de Montchatain, d'où Jacqueline a pris la photo. La gagnante ou le gagnant, sera, celle ou celui, qui postera le premier, un commentaire avec la bonne réponse. Le prix : un apéro pour deux personnes chez le vieux rouge. Évidement, Jacqueline et Marie Thé sont hors concours.

lundi 8 novembre 2010

Note de lecture


Florence AUBENAS : Les quais de OUISTREHAM


Lorsque Florence Aubenas a demandé à prendre un congé sabbatique, la rumeur a couru qu’elle partait écrire un roman au Maroc. Quelques mois plus tard, on a compris que le Maroc n’était qu’un écran de fumée destiné à protéger son véritable projet. Florence s’était installée à Caen où, dans le plus grand secret, elle avait décidé de s’inscrire au chômage et de chercher du travail. Elle avait conservé son nom, ses papiers, tiré ses cheveux en arrière après les avoir teints en blond, pris l’habitude de garder ses lunettes sur le nez. L’expérience a fonctionné. A deux exceptions près, personne n’a reconnu la journaliste dont le portrait s’affichait sur les murs quatre ans plus tôt, à l’époque où elle était détenue en Irak. Pendant six mois, de février à juillet 2009, Florence Aubenas s’enrôle dans cette armée de CDD qui constitue aujourd’hui une nouvelle classe ouvrière. Elle fait la tournée des agences d’intérim où, quand on ne l’éconduit pas d’un : « Vous êtes plutôt dans le fond de la casserole, madame », on la traite, dit-elle, « avec une douceur d’infirmière dans un service de soins palliatifs ». Jusqu’au jour où une conseillère de Pôle Emploi lui assure que, dans son cas, la meilleure solution, c’est de s’orienter vers la spécialité d’agent de nettoyage. Au bout d’un mois et demi, la voilà employée à bord du ferry pour l’Angleterre, à Ouistreham, à récurer les cabines et les toilettes. Une heure par jour, de 21h30 à 22h30. Viendront s’ajouter d’autres boulots, quand ce ne seront pas quelques heures attribuées au dernier moment. Au total, elle ne gagnera jamais plus de 700 euros par mois. Florence raconte de façon saisissante ce qu’elle a vécu. La fatigue nerveuse, les horaires qui n’en finissent pas, les déplacements incessants d’un travail à l’autre, la vulnérabilité qui oblige à subir et à fermer sa gueule, mais aussi la solidarité et les moments de bonheur arrachés à un monde où une prime de licenciement de 200 euros fait figure de parachute en or et un CDI de 5h30 à 8 heures le matin, de passeport pour le paradis.

Michel Labro


Ma note : 8/10

dimanche 7 novembre 2010

Grand Corps Malade


Hier, un peu par hasard, je suis tombé sur le concert de Grand Corps Malade, sur France O. Je ne connaissais pas grand chose sur le slam, mais ce gars là est bourré de talent, une vraie présence sur scène et des textes magistralement écrits.
Une petite vidéo ci dessous pour vous faire une idée :