VISITEURS

dimanche 30 décembre 2007

Rando : La Chapelle St Sabin (Véranne Loire)




Désolé, chers amis lecteurs, vous n’aurez pas de photos personnelles (mauvaise manip sur l’appareil) de cette rando, reconnue avec Maurice.
Nous sommes partis de Véranne, village un peu au sud des gorges de Malleval (42), pour monter au col du Gratteau, en passant par la croix du Trève, du col, nous avons rejoint la chapelle de St Sabin (vue magnifique sur la vallée du Rhône et par temps clair sur les Alpes). Nous avons trouvé la neige au col, heureusement que pour le casse croute, à la chapelle nous avions la soupe de légumes bien chaude, le café et bien sur la gnole du vieux rouge. A refaire, avec le soleil, la prochaine fois.

vendredi 28 décembre 2007

Bilan de fin d'année

Cliquez sur l'image pour agrandir

Après 3 mois de fonctionnement, le moment est venu de faire le bilan de ce blog :
Au soir du 28 décembre 2007, il a eu 707 visiteurs et 95 commentaires.

Sur la photo ci-dessus vous pourrez découvrir le trombinoscope des principaux commentateurs et le nombre de commentaires entre parenthèses , de gauche à droite et de bas en haut :
Josy ou la Châtelaine (39 commentaires) record à battre !
James ou Brother in law 01 (17)
Laurette ou Lololovedesverts (14)
Marie Claire ou la Jumelle (6)
Nicolas ou Snurff (5) à égalité avec Monique ou la soeur Perdue (5)
Fabienne ou Fabibi (4)
André (2 commentaires)
A égalité avec un commentaire : Hubert Dupont, Frédéric de Flaugergues, Betty Fustier, Georges Vankatapen et Nini du blog http://unpetitairde.blogspot.com/

MERCI A TOUTES ET A TOUS ET BONNE ANNEE 2008

mercredi 26 décembre 2007

NOEL

Quitte à passer pour un vieil ours mal léché, je le dis sans détour : je n’aime pas Noël et les fêtes de fin d’année dans l’ensemble. Peut être que cela est du au raccourcissement des jours, à la grisaille ou au froid, mais c’est comme ça.

L’obligation de faire et de recevoir des cadeaux à une date bien déterminée me gonfle profondément, pareil pour la bouffe, les guirlandes très moches que les gens se sentent obligés à accrocher et ce qui me navre le plus ce sont tous ces père Noël qui se suicident en se pendant aux balcons (mais qu’est ce qu’on attend pour leur filer 4 ou 5 comprimés de TEMESTA)

ALLEZ VIVEMENT LE 2, QU’ON PUISSE RECOMMENCER UNE NOUVELLE ANNEE !!!

dimanche 23 décembre 2007

Rando : Le lac des Meinettes

Nicolas SARKOZY en voyage officiel à Cheminas

La Chapelle de Ceintres

Le monstre du Loch Meinettes


Sympathique randonnée sur le plateau ardéchois en compagnie de Paulette, Jullien et Marie Thé. On démarre de Cheminas, première étape à la chapelle de Ceintres, puis de là on gagne le lac des Meinettes, lac artificiel alimenté par l’Ozon. Le lac était gelé, mais comme Paulette avait prévu le vin chaud, ça ne nous a pas trop perturbé. Après le lac on traverse un joli bois de pins et on retourne sur Cheminas à travers les pâturages du plateau. Un peu plus de 10 km. en 2 heures et demi. Très bonne journée.

vendredi 21 décembre 2007

Une nouvelle nation : LES SIOUX LAKOTAS !

Russel Means

Décembre 2007.
Ceux-ci viennent en effet de déclarer leur indépendance à l’égard des Etats Unis
Cette décision est unilatérale mais légale. Elle a été prise en raison du non-respect d’accords signés avec le gouvernement des Etats Unis il y a 150 ans.
La nation Lakota (Sioux) est répartie dans les états du Dakota - principalement, du Nebraska, du Montana et du Wyoming.
Les Lakotas luttent pour leur indépendance depuis 1974. Leur espérance de vie est actuellement de 44 ans. "Notre peuple veut vivre, non seulement survivre, ramper, affirme Phyllis Young, militante, aux côtés de Russell Means, musicien et comédien( "Le dernier des Mohicans"), entre autres.
Les représentants de ce nouveau pays ont l’intention d’avoir leur propre administration, avec leurs propres passeports. Ils établissent des liens diplomatiques avec la Bolivie, le Chili, l’Afrique du Sud et le Venezuela.(Source Bellaciao.org)

"Qu'en penses tu Brother in law 01 ? "

mardi 18 décembre 2007

Bon anniversaire Fabienne

il y 25 ans entre ces deux photos



Le 18 décembre 1982, à huit heures du soir, Marie Thé commençait à avoir les premières contractions.
Je couchais Anne en lui lisant l’histoire du jour, tirée d’un gros bouquin qui s’appelait : « 365 histoires, une histoire par jour ». L’histoire de ce soir là s’appelait : « Maman est malade », ça ne s’invente pas ! Dès que la grand-mère fut là, pour garder Anne pendant la nuit, j’installais Marie Thé dans la 4L et en route pour la maternité. Doucement d’abord pour éviter les secousses, puis de plus en plus vite, Fabienne était déjà une enfant pressée : elle à failli naître dans la vallée de la Galaure. Pas le temps de garer la bagnole, la course dans le couloir de la maternité pour trouver un charriot, direction la salle d’accouchement, sans prendre le temps d’enfiler la tenue règlementaire et à huit heures quarante cinq, Babinou poussait son premier cri. Il y a vingt cinq ans, une heure et trente trois minutes.

samedi 15 décembre 2007

A Nicolas

Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché, alors vous découvrirez que l'argent ne se mange pas.

Proverbe des Indiens Cree du Canada

Rétroviseur : Les boeufs


Mon excellent camarade, Jean Michel, m’a appris que l’association de sauvegarde du patrimoine de St Donat préparait une exposition pour la foire des bœufs gras dont le thème serait le bœuf.
Dans mon enfance, le bœuf, ou plutôt les bœufs faisaient partie de mon univers. Mon père a vendu sa dernière paire de bœufs en 1964. Il achetait des jeunes bêtes à peine dressées, il les gardait 3 ou 4 ans pour le travail et les engraissait pour la boucherie.
A chaque transaction, c’était des journées de palabres avec le maquignon, mais quand le marché était conclu, on se tapait dans la main et très souvent le maquignon restait pour souper car la nuit était déjà très avancée.
Contrairement au cheval plus vif et nerveux, les bœufs travaillaient en douceur et puissance : la force tranquille avant l’heure. Il y avait des périodes assez dures pour les attelages, les semailles, les moissons et les foins.
Pour les semailles le travail pouvait durer un mois de temps. Il fallait labourer au brabant ou à l’araire (la seluire en patois), herser (avec la repeille) semer et herser à nouveau.
Pour les foins et les moissons, il fallait atteler avant jour, car vers 10 ou 11 heures, les bêtes avaient trop chaud, on devait les rentrer. On réattelait après 5 heures de l’après midi jusqu’au crépuscule.
Gamin, entre 12 et 14 ans, on nous embauchait pour conduire les bœufs, il fallait marcher devant pour les guider pour les travaux délicats comme le buttage des asperges ou le binage du tabac ou des betteraves. Il fallait faire très attention afin que les bêtes ne piétinent pas les jeunes pousses. Plus tard on nous apprenait à atteler et à tenir la charrue ou la bineuse. Il y avait des règles à respecter pour atteler. On devait toujours commencer par la même bête, celle qui supportait le joug. Il fallait ensuite fixer le joug aux cornes de l’animal à l’aide de sangles de cuir et faire très attention quant il y avait des mouches ou des taons : pour se débarrasser des insectes le bœuf pouvait donner un coup de tête et envoyer la lourde pièce de bois dans la figure du préposé à l’attelage.
Chaque bête avait un nom qui servait aux manœuvres (tourner, avancer ou reculer)
Les éleveurs de bœufs de trait ne faisaient pas beaucoup d’effort d’imagination pour baptiser leurs bêtes : c’était invariablement « Froment et Rouget » ou « Joli et Gaillard »
qui ressortait, plus rarement « Bouchard et Grillou ».
Puis dans les années 60, la mécanisation se généralisa et on ne vit plus d’attelage que chez quelques nostalgiques d’un passé définitivement révolu.

mercredi 12 décembre 2007

Louise

(photo Virginie Rebattet)

VIEUX : ça commence,

ROUGE : toujours,

GATEUX : avec Loulou, oui et fier de l'être en plus.

mardi 11 décembre 2007

Martinique : le canal de Beauregard




Cette randonnée n’est pas très physique mais il faut faire attention aux serpents et aux risques de vertiges dus aux à-pics de 30 à 130 m.

On longe l'ancien canal d'irrigation construit sur le flanc du Morne des Cadets en 1777 par les esclaves, la margelle du canal fait à peine 40 cm et il n’y a pas de garde fou. A l'ombre des frondaisons surplombant le canal on peut voir des ciriques, des crabes jaunes d'eau douce mais aussi des arbres hauts de plus de trente mètres tels le fromager ou le gommier et le kapok. Puis on traverse des plantations d'anthurium, d'alpina et de roses de porcelaine comme à la Maison Rousse tout en regardant les contreforts des Pitons du Carbet, de Morne Roy au Morne Piquet.

Notre Marie Thé a fait preuve de beaucoup de courage pour cette balade : elle a surmonté son vertige (Voir les photos) D’autant plus que ce jour là, sous nos yeux, un touriste a fait une chute dans le vide à un endroit où il y avait bien 20 mètres d’à-pics. Fort heureusement pour lui, il est resté suspendu dans la végétation, nous l’avons remonté à l’aide d’un grand bambou, sain et sauf mais pas très fier de son exploit.

lundi 10 décembre 2007

La conquète de l'Ouest


The Big Blues


En camping chez les indiens Blacks Feets
(Photos Mémée Suzanne)


Deux cents ans après les premiers pionniers les Reynaud se sont lancés à la conquête de l’ouest.

En aout 1993, les 4 Reynaud et la mémé Suzanne se rendent aux Etats-Unis, dans la Jensen family à Isanti Minnesota.
Après quelques jours d’adaptation, c’est le grand départ vers l’Ouest. On entasse onze personnes : les 5 Jensen, les 4 Reynaud, la mémée et David dans un campeur (bus transformé en camping car) baptisé Big Blues et en route pour l’aventure.
C’est tout d’abord les hauts plateaux désertiques du Nord Dakota où a été tourné : « Danse avec les loups », puis traversée du Montana d’Est en Ouest jusqu'au parc des Glaciers situé à la frontière Nord avec le Canada. Ensuite, cap au Sud jusqu’à Yellowstone (Wyomming). Le retour se fait par le Sud Dakota avec des étapes au Mont Rushmore et par les Badlands.
Dix jours d’un périple inoubliable, dans des paysages grandioses et une ambiance du tonnerre.

Thanks you to Sister Lost and Brother in law 01

vendredi 7 décembre 2007

Martinique : la banane


Ca y est, la banane martiniquaise va réapparaître sur nos marchés. Quatre mois après le passage du cyclone DEAN, les premiers fruits devraient être sur les étals métropolitains en février. C’est ce qu' a annoncé, aujourd’hui, Juvénal REMIR, président du CODEMA / MODEF sur RFO Martique.
Le responsable syndical antillais a aussi réaffirmé son combat pour maintenir la taxe de 176 € la tonne appliqués à la banane dollar. Cette taxe est nécessaire, selon lui, pour lutter contre les disparités dues aux faibles coût de main d’œuvre de pays comme L’Equateur ou la Cote d’Ivoire.

ALORS, DES FEVRIER, TOUS A VOS CABAS, POUR CONSOMMER LA BANANE ANTILLAISE !!!

mercredi 5 décembre 2007

LE GRAND VEYMOND


Le Grand Veymond tel que les andéolais peuvent le voir par temps clair, ils en ont de la chance ceux là !!!

mardi 4 décembre 2007

RIDAN

OBJECTIF TERRE
Elle pleure, elle pleure, Elle pleure ma planète !
Elle sent que sa fin est proche
Et ça la rend folle !
Dites-leur, dites-leur, Dites-leur qu'ils sont fous !
(Pourquoi tu pleures ?)
La Terre en a ras le bol un point c'est tout !
Aujourd'hui j'ai de la chance
Je suis encore là.
J'vais pouvoir voir le ciel encore une fois.
L'air pur ici aussi se fait si rare,
Que même les clébards disent
Qu'il y en a marre !
De respirer cette merde à pleins poumons,
Tout ça pour qu'un petit con
Gagne des millions.
Tu sais que notre vie de chien nous suffit bien,
Pas besoin de choper
Le cancer des êtres humains.
Nous paierons cher sans doute votre insolence,
Vous jouez avec ce monde par négligence.
Les frontières de vos cartes n'y feront rien !
Cette Terre n'est pas à nous
Vous le saurez bien
Elle pleure, elle pleure, Elle pleure ma planète !
Elle sent que sa fin est proche
Et ça la rend folle !
Dites-leur, dites-leur, Dites-leur qu'ils sont fous !
La Terre en a ras le bol comme nous
(Tu pleures encore ?)
La nature est à moi,
je suis sa mère
Vous déchaînerez mes nerfs je serai guère
Qu'elles volent vos maisons au-delà des mers.
Vous donnerez des noms à mes colères !
(Badaboum !)
Vous êtes la raison de vos prières,
Et vous aurez raison de vos cimetières.
Qu'elles jaillissent les eaux
Sur votre espèce !
Vous n'aurez plus conscience
De votre petitesse
Je ferai de vos villes ce bel enfer,
Plus chaleureux encore que le paradis.
Vous tremblerez de peur dans vos demeures
Car l'homme a fait de l'homme
Cette chose sans vie...
La vidéo :

lundi 3 décembre 2007

Sarkonnerie

Par un beau matin de printemps, un petit garçon sort pour la première fois la belle bicyclette qu'il a reçue pour Noël. Il rencontre SARKOZY à cheval. SARKOZY le regarde et lui dit : - Ta bicyclette est bien belle, l'as tu reçue du Père Noël? - Oui Monsieur SARKOZY. - Alors, lui dit SARKOZY tout en lui donnant une contravention de 25 euros, tu donneras ça à ton papa, et tu diras au Père Noël que la prochaine fois, il faudra qu'il mette un voyant rouge à l'arrière de ta bicyclette. Le petit gars prend le ticket et dit à SARKOZY : - Votre cheval est bien beau, c'est aussi un cadeau du père Noël ? SARKOZY qui décide de rentrer dans le jeu lui répond : - Oui, c'est aussi un cadeau du Père Noël, pourquoi ? Et le gamin de lui répondre : - Alors vous direz au Père Noël que pour un cheval, le trou du cul se met derrière et non dessus......

dimanche 2 décembre 2007

....?

Qu’est ce qu’on fait quand rien n’est simple ?
Quant on a que des banalités en guise de réponses ?
Quand l’ami(e) se noie devant toi et que tu ne sais pas nager ?
Où que tu as peur de te foutre à l’eau,
On écoute, on essaie de réconforter, on se sent impuissant,
Et puis on continue… l’habitude reprend le dessus…

Rando : La Baume Cornillane











Sympathique randonnée à cinq copains (André, Charlotte, Paulette, Nico et le vieux rouge) au dessus de la Baume-Cornillane qui démarre d’un joli pont de pierre pour s’élever jusqu’aux ruines du château où il reste deux beaux pans de mur d’un donjon carré.
Près du château, un panneau nous annonce que ce lieu était le centre de l’unique continent (Pangée) avant qu’il ne se fractionne, il y a quelques 200 millions d’années, pour donner les continents que nous connaissons aujourd’hui (Merci Nicolas pour la leçon de géologie). La ballade continue par la montée dans une forêt de chênes rabougris, puis serpente à mi pente pour redescendre à travers les prairies d’un centre équestre.


samedi 1 décembre 2007

Bistanclaques


Ce duo lyonnais originaire du quartier de la Croix Rousse, en héritiers des canuts, nous trimballe au son d’un piano à bretelle et d’un tambourin. L’ambiance musicale entremêle tradition et musette, sur des textes bien vengeurs qui décrivent parfaitement notre société rayonnante de bonheur en attente : ô joie du libéralisme et de sa sainte trinité, travailles, consommes et tais-toi.

Source : Polyculture

Soirée mémorable dans le cuvage de Denis, le paysan vigneron de Villié Morgon, le 20 mai 2006 lors d’une soirée poésie concoctée par l’association Polyculture qui s’achevait aux aurores, sous le cerisier, dans la cour à Toto, face au presbytère. Ce soir là le brave curé de Villié Morgon ne dut pas dormir beaucoup, tenu éveillé par les chansons à boire et les délires des six derniers irréductibles : Les deux Bistan, Gérard le Chti, Denis le maître des lieux, Alexandre et le Vieux Rouge. Il va sans dire que le Morgon humecta généreusement les gossiers des participants.

Pour écouter et voir les Bistanclaques :


@si

Vous aimiez l'émission de Daniel Schneidermann : "Arret sur image" diffusée sur France 5 et supprimée le 18 juin 2007 par Patrick de Carolis.

Désormais, vous pouvez la retrouver sur le Net à l'adresse suivante :
http://arretsurimages.net