Le XVème congrès du MODEF (MOuvement de Défense des Exploitants Familiaux) s’est tenu à Mirande dans le Gers, les 7 et 8 mars et nous étions sept drômois à y participer. Ce congrès était celui du cinquantenaire : le MODEF est né à Toulouse en 1959.
Un congrès est toujours un moment important dans la vie d’un syndicat, le XVème congrès du MODEF ne fait pas exception. Tous les trois ans, c’est le moment où on fait le bilan des activités passées, où on élit la nouvelle équipe en charge de la gestion de la structure et où (et je pense que c’est là le plus important) ce décide les orientations futures.
Le thème de ce congrès était : « Nous mangerons, si j’en vis ». Avec ce titre nous avons voulu mettre l’accent sur la mission première des paysans qui est de nourrir l’humanité, pour assurer cette mission il faut des paysans et il ne peut y avoir de paysans que si leur travail leur permet d’en vivre.
Un congrès, c’est aussi un moment festif, c’est des retrouvailles avec des camarades, c’est la convivialité. Et pour cette occasion nos amis gersois avaient fait les choses bien que ce soit au niveau de l’accueil ou de la restauration, rien ne manquait.
Un petit regret quant même, celui d’être partis avant la fin car la route est longue entre le Gers et la Drôme.
Un congrès est toujours un moment important dans la vie d’un syndicat, le XVème congrès du MODEF ne fait pas exception. Tous les trois ans, c’est le moment où on fait le bilan des activités passées, où on élit la nouvelle équipe en charge de la gestion de la structure et où (et je pense que c’est là le plus important) ce décide les orientations futures.
Le thème de ce congrès était : « Nous mangerons, si j’en vis ». Avec ce titre nous avons voulu mettre l’accent sur la mission première des paysans qui est de nourrir l’humanité, pour assurer cette mission il faut des paysans et il ne peut y avoir de paysans que si leur travail leur permet d’en vivre.
Un congrès, c’est aussi un moment festif, c’est des retrouvailles avec des camarades, c’est la convivialité. Et pour cette occasion nos amis gersois avaient fait les choses bien que ce soit au niveau de l’accueil ou de la restauration, rien ne manquait.
Un petit regret quant même, celui d’être partis avant la fin car la route est longue entre le Gers et la Drôme.
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